Compositeur Au début des années 1930, Jolivet découvre la musique traditionnelle nord-africaine. Il est ici à Blida, devant la tombe d’un marabout et écoute un joueur de flûte. En 1936, en vacances près d’Aix-les-Bains, Jolivet travaille aux Cinq incantations pour flûte seule. Après l’expérience de la « Drôle de guerre ». (juin 1940) Guignolette sourit aux auteurs et interprètes de Guignol et Pandore: Suzanne Lorcia, André Dignimont, Louis Fourestier, Serge Lifar et André Jolivet. (1944) Que lui disait Robert Doisneau pour susciter ce regard préoccupé ? (photo Robert Doisneau) Jolivet : pensif ou rêveur ? Jolivet a lâché la pipe pour la cigarette pour relire un manuscrit en cours. (vers 1955) Pendant l’académie d’été organisée par Jolivet à Aix-en-Provence, professeurs et élèves-compositeurs, se retrouvaient pour étudier une partition. Ici, c’est Henri Dutilleux qui explique son œuvre. En 1959, première session du Centre Français d’Humanisme Musical (CFHM) à Aix-en-Provence. Les Jolivet en compagnie, à la terrasse des « Deux Garçons », (on reconnaît Jacques Chailley, Serge Baudo, Lucette Descaves à gauche et Geneviève et Marc Honegger à droite). Jolivet entouré de ses élèves au Conservatoire de Paris (CNSM) Ce portrait de Roussel par C.H. Martin, a longtemps accompagné Jolivet. Il est aujourd’hui à la Bibliothèque-Musée de l’Opéra, à Paris. Vous a-t-on dit que Jolivet fumait ? Share on Facebook Share 0